Liberté et responsabilité - quel est le sensde ces concepts? La liberté en elle-même est une définition assez large des capacités de l'homme et du canon philosophique, sur lesquelles aucun traité de sages athéniens n'est basé. Être libre, c'est avoir soi-même exactement dans la mesure où les capacités d'une personne lui permettent de le faire. Mais en même temps, il est difficile de ne pas confondre les définitions, en essayant de distinguer les caractéristiques de "liberté de" et de "liberté pour".
Mais la question du sujet à l'examen aujourd'hui est la liberté.et la responsabilité, qui signifie donner des définitions à la première, en découle et dériver la seconde. La responsabilité, au sens étroit du terme, implique la possibilité d'être limité par la loi et par le moral de la personne responsable des actes commis. Mais si tout est plus ou moins clair avec la caractéristique légale, qu'en est-il de la moralité? La liberté et la responsabilité au sens moral et éthique sont inséparables et dépendent les unes des autres. Et, en conséquence, chaque personne les possède, quels que soient sa capacité, sa capacité juridique et ses autres aspects juridiques. La morale est un domaine de couverture beaucoup plus large, ne serait-ce que parce que, contrairement à la loi, elle examine une personne de l'intérieur, en donnant une description complète de tous les actes accomplis ou non, dans les limites de sa conscience de soi.
Il devient immédiatement évident que le sujet de la question à l’examen est hétérogène et ambigu. Après tout, la liberté et la responsabilité qui se nuisent sont des concepts philosophiquement incompatibles.
Par exemple, un policier qui poursuit un criminel armé et protège sa vie et celle de quelqu'un d’autre a le droit de le tuer et ne va donc pas au-delà des droits que la loi lui reconnaît.
Mais par la même action ce flicfranchit la ligne d'influence permise sur la liberté d'une personne assassinée et dépasse donc même moralement les limites de ce qui est permis par la société. En même temps, du point de vue de la même société, le policier aura raison. Si le persécuté, en se défendant, tue le gardien de la loi, le meurtre est alors considéré par la société comme une circonstance aggravante et un excès des droits du meurtrier à l'égard de la victime ...