Au sud-est du plus grand grecPéninsule - Péloponnèse - autrefois situé la puissante Sparte. Cet état était situé dans la région de la Laconie, dans la pittoresque vallée de la rivière Evrotus. Son nom officiel, le plus souvent mentionné dans les traités internationaux, est Lacedaemon. C'est de cet état que sont issus des concepts tels que «Spartan» et «Spartan». Tout le monde a également entendu parler de la coutume cruelle qui s'est développée dans cette ancienne polis: tuer les nouveau-nés faibles afin de maintenir le pool génétique de leur nation.
Officiellement Sparte, qui s'appelait Lacedaemon(de ce mot aussi le nom du nome - Laconie), originaire du XIe siècle avant JC. Après un certain temps, toute la zone sur laquelle se trouvait cette cité-état a été capturée par les tribus doriennes. Le même, assimilé aux Achéens locaux, est devenu Spartakiati dans le sens connu aujourd'hui, et les anciens habitants ont été transformés en esclaves, appelés helots.
Le plus dorique de tous déclare queLa Grèce antique savait autrefois que Sparte était située sur la rive ouest d'Evrota, sur le site de la ville moderne du même nom. Son nom peut être traduit par «dispersé». Il se composait de domaines et de domaines disséminés dans toute la Laconie. Et le centre était une colline basse, qui devint plus tard connue sous le nom d'acropole. Initialement, Sparte n'avait pas de murs et est restée fidèle à ce principe jusqu'au IIe siècle avant JC.
Il était basé sur le principe de l'unité de touscitoyens à part entière de la politique. Pour cela, l'État et la loi de Sparte réglementaient strictement la vie et la vie de ses sujets, restreignant leur stratification de propriété. Les bases d'un tel système social ont été posées par le traité du légendaire Lycurgue. Selon lui, les devoirs des Spartiates n'étaient que des sports ou des arts martiaux, et l'artisanat, l'agriculture et le commerce étaient l'affaire d'hélots et de periecs.
Sparte est l'un des rares états deLa tête de laquelle était simultanément à la fois deux rois, qui s'appelaient arhagetes. Leur pouvoir a été hérité. Les pouvoirs que possédait chaque roi de Sparte étaient réduits non seulement au pouvoir militaire, mais aussi à l'organisation de sacrifices, ainsi qu'à la participation au conseil des anciens.
Ce dernier s'appelait gerusia et se composait de deuxarhagetes et vingt-huit gérons. Les anciens étaient élus par l'assemblée populaire à vie uniquement parmi la noblesse spartiate, qui avait atteint l'âge de soixante ans. Gerousia in Sparte remplissait les fonctions d'un certain organisme gouvernemental. Elle a préparé des questions qui devaient être discutées lors de réunions populaires et a également dirigé la politique étrangère. En outre, le conseil des anciens a examiné les affaires pénales, ainsi que les crimes d'État, visant, entre autres, les Arhagetes.
Procédures judiciaires et droit de l'ancienne Sparteréglementé par le collège des éphors. Cet orgue est apparu pour la première fois au VIIIe siècle avant JC. Il se composait de cinq des citoyens les plus dignes de l'État, élus par l'assemblée du peuple pour un an seulement. Dans un premier temps, les pouvoirs des éphors étaient limités uniquement aux procédures judiciaires des conflits de propriété. Mais déjà au sixième siècle avant JC, leur pouvoir et leur autorité grandissent. Peu à peu, ils commencent à supplanter la gérusie. Efora a eu le droit de convoquer une assemblée nationale et une gérusie, de réglementer la politique étrangère et d'exercer un contrôle interne sur Sparte et ses procédures judiciaires. Cet organe était si important dans le système social de l'État que ses pouvoirs comprenaient le contrôle des fonctionnaires, y compris l'Archaget.
Sparte est un exemple d'aristocratiquel'état. Afin de réprimer la population forcée, dont les représentants étaient appelés des hilotes, le développement de la propriété privée a été artificiellement restreint afin de préserver l'égalité entre les Spartiates eux-mêmes.
Apella, ou assemblée populaire, à Sparte a été distinguéepassivité. Seuls les citoyens de sexe masculin à part entière ayant atteint l'âge de trente ans ont le droit de participer à cet organe. Au début, l'assemblée nationale était convoquée par l'archaget, mais plus tard la direction de celle-ci passa également au collège des éphors. Apella n'a pas pu discuter des questions soulevées, elle a seulement rejeté ou accepté la solution qu'elle proposait. Les membres de l'assemblée populaire ont voté très primitivement: en criant ou en divisant les participants de différents côtés, après quoi la majorité a été déterminée à l'œil nu.
Les habitants de l'État Lacédémon ont toujours étéclasse inégale. Une telle situation a été créée par le système social de Sparte, qui prévoyait trois domaines: l'élite, les perieks - les résidents libres des villes voisines qui n'avaient pas le droit de vote, ainsi que les esclaves d'État - les helots.
Les Spartiates qui étaient dans les privilégiésconditions, engagées exclusivement dans la guerre. Ils étaient loin du commerce, de l'artisanat et de l'agriculture, tout cela était, à droite, laissé aux periecs. Dans le même temps, les domaines de l'élite Spartiates étaient cultivés par des hilotes, que ces derniers louaient à l'État. À l'apogée de l'État, la noblesse était cinq fois moins que les avantages et dix fois le nombre d'hélotes.
Toutes les périodes de l'existence de celui-ciles états antiques peuvent être divisés en époques préhistorique, antique, classique, romaine et hellénistique. Chacun d'eux a laissé sa marque non seulement dans la formation de l'ancien état de Sparte. La Grèce a beaucoup emprunté à cette histoire dans le processus de sa formation.
Les terres laconiennes étaient à l'origine habitées par les Lelegs, maisaprès la prise du Péloponnèse par les Doriens, cette région, qui a toujours été considérée comme la plus stérile et généralement insignifiante, à la suite de la tromperie est allée aux deux fils mineurs du légendaire roi Aristodème - Eurysthène et Proclus.
Bientôt Sparte devint la ville principale de Lacédémon,le système dont pendant longtemps ne s'est pas démarqué du reste des états doriques. Elle a combattu des guerres extérieures constantes avec les villes voisines d'Argos ou d'Arcadie. L'augmentation la plus significative se produit pendant le règne de Lycurgus, l'ancien législateur spartiate, à qui les historiens antiques attribuent à l'unanimité le système politique qui a ensuite dominé à Sparte pendant plusieurs siècles.
Après avoir remporté les guerres de 743 à 723 et de685 à 668 Colombie-Britannique, Sparte a finalement pu vaincre et capturer Messénie. En conséquence, ses anciens habitants ont été privés de leurs terres et transformés en hilotes. Six ans plus tard, Sparte, au prix d'efforts incroyables, a vaincu les Arcadiens, et en 660 av. e. a forcé Tegea à reconnaître son hégémonie. Selon l'accord conservé sur la colonne placée à proximité avec Alfea, elle l'a forcée à conclure une alliance militaire. C'est à partir de cette époque que Sparte aux yeux des peuples commença à être considérée comme le premier État de la Grèce.
L'histoire de Sparte à ce stade se résume au fait queses habitants ont commencé à tenter de renverser les tyrans apparus à partir du septième millénaire avant notre ère. e. dans presque tous les États grecs. Ce sont les Spartiates qui ont aidé à expulser les Kipselids de Corinthe, les Pisistrats d'Athènes, ils ont contribué à la libération de Sikion et Phokis, ainsi que de plusieurs îles de la mer Égée, gagnant ainsi des partisans reconnaissants dans différents États.
Ayant conclu une alliance avec Tegea et Elis, les Spartiates sont devenuspour gagner le reste des villes de Laconie et des régions voisines. En conséquence, l'Union du Péloponnèse a été formée, dans laquelle Sparte a repris l'hégémonie. Ce furent des moments merveilleux pour elle: elle exerçait un leadership dans les guerres, était le centre des réunions et de toutes les conférences de l'Union, sans empiéter sur l'indépendance des États individuels qui conservaient leur autonomie.
Sparte n'a jamais essayé de se propagerpropre pouvoir dans le Péloponnèse, cependant, la menace de danger a poussé tous les autres États, à l'exception d'Argos, à passer sous son patronage pendant les guerres gréco-perses. Ayant éliminé le danger directement, les Spartiates, se rendant compte qu'ils étaient incapables de mener une guerre avec les Perses loin de leurs propres frontières, ne se sont pas opposés au moment où Athènes a assumé davantage de leadership de premier plan dans la guerre, se limitant uniquement à la péninsule.
À partir de ce moment, des signes ont commencé à apparaîtrerivalité entre ces deux États, qui a plus tard abouti à la première guerre du Péloponnèse, qui s'est terminée par la paix de trente ans. Les hostilités ont non seulement brisé le pouvoir d'Athènes et établi l'hégémonie de Sparte, mais ont également conduit à une violation progressive de ses fondements - la législation de Lycurgue.
En conséquence, en 397 avant JCil y eut un soulèvement de Kinadona, qui, cependant, ne fut pas couronné de succès. Cependant, après certains revers, notamment la défaite à la bataille de Cnide en 394 av. e, Sparte a cédé l'Asie Mineure, mais est ensuite devenue juge et médiateur dans les affaires grecques, motivant ainsi sa politique avec la liberté de tous les États, et a pu assurer sa primauté dans une alliance avec la Perse. Et seule Thèbes n'a pas obéi aux conditions fixées, privant ainsi Sparte des avantages d'un monde aussi honteux pour elle.
Depuis ces années, l'État est devenu suffisantdécliner rapidement. Appauvrie et accablée par les dettes de ses citoyens, Sparte, dont le système reposait sur la législation de Lycurgue, se transforma en une forme vide de gouvernement. Une alliance a été conclue avec les Phokeians. Et bien que les Spartiates leur aient envoyé de l'aide, ils ne leur ont pas apporté un réel soutien. En l'absence d'Alexandre le Grand, le roi Agis, avec l'aide de l'argent reçu de Darius, tenta de se débarrasser du joug macédonien. Mais lui, ayant échoué dans les batailles de Megapolis, a été tué. Peu à peu, a commencé à disparaître et est devenu un esprit familier pour lequel Sparte était si célèbre.
Sparte est un état qui a ététrois siècles faisaient l'envie de toute la Grèce antique. Entre le huitième et le cinquième siècle avant JC, c'était un groupe de centaines de villes, souvent en guerre les unes avec les autres. Lycurgus est devenu l'une des figures clés de la formation de Sparte en tant qu'État puissant et fort. Avant son apparition, elle n'était pas très différente du reste des anciennes cités-États grecques. Mais avec l'avènement de Lycurgue, la situation a changé et les priorités de développement ont été données à l'art de la guerre. À partir de ce moment, Lacedaemon a commencé à se transformer. Et c'est pendant cette période qu'il a prospéré.
À partir du VIIIe siècle avant JC e.Sparte a commencé à mener des guerres de conquête, conquérant un à un ses voisins du Péloponnèse. Après une série d'opérations militaires réussies, Sparte est passée à l'établissement de relations diplomatiques avec ses adversaires les plus puissants. Ayant conclu plusieurs traités, Lacedaemon se tenait à la tête de l'union des États du Péloponnèse, considérée comme l'une des formations les plus puissantes de la Grèce antique. La création de cette alliance par Sparte devait servir à repousser l'invasion perse.
L'état de Sparte a été un mystère pour les historiens.Les Grecs admiraient non seulement ses citoyens, mais les craignaient. Un type de boucliers en bronze et de capes écarlates portés par les guerriers de Sparte a mis les adversaires en fuite, les forçant à se rendre.
Non seulement les ennemis, mais les Grecs eux-mêmes ne sont pas trèsJ'ai aimé quand l'armée, même petite, était située à côté d'eux. Tout s'expliquait très simplement: les soldats de Sparte avaient la réputation d'être invincibles. La vue de leurs phalanges fit paniquer même les plus aguerris. Et bien que seul un petit nombre de combattants aient participé aux batailles à ce moment-là, néanmoins, elles n'ont jamais duré longtemps.
Mais au début du cinquième siècle avant JC. e.une invasion massive de l'Est a marqué le début du déclin du pouvoir de Sparte. L'immense empire perse, rêvant toujours d'étendre ses territoires, a envoyé une grande armée en Grèce. Deux cent mille personnes se tenaient aux frontières de Hellas. Mais les Grecs, menés par les Spartiates, ont accepté le défi.
C'est arrivé en 480 avant JC. e.lorsque les hordes du roi perse Xerxès ont tenté de capturer l'étroit passage reliant la Grèce centrale à la Thessalie. À la tête des troupes, y compris les alliés, se trouvait le tsar Léonidas. Sparte occupait à l'époque une position de leader parmi les États amis. Mais Xerxès, profitant de la trahison des mécontents, contourna la gorge des Thermopyles et se dirigea vers l'arrière des Grecs.
Apprendre à ce sujet, Leonidas, qui s'est battu à égalitéavec ses soldats, il dissout les troupes alliées, les renvoyant chez eux. Et lui-même, avec une poignée de soldats, dont le nombre n'était que de trois cents personnes, se tenait sur le chemin de la vingt millième armée perse. La gorge des Thermopyles était stratégique pour les Grecs. En cas de défaite, ils seraient coupés de la Grèce centrale et leur sort serait acquis d'avance.
Pendant quatre jours, les Perses n'ont pas pu briser les forces ennemies incomparablement plus petites. Les héros de Sparte se sont battus comme des lions. Mais les forces étaient inégales.
Les guerriers intrépides de Sparte ont tué tout un chacun. Avec eux, leur tsar Leonidas a combattu jusqu'au bout, qui ne voulait pas abandonner ses camarades d'armes.
Le nom de Leonid est entré à jamais dans l'histoire.Des chroniqueurs, dont Hérodote, ont écrit: «De nombreux rois sont morts et ont longtemps été oubliés. Mais Leonid est connu et honoré de tous. Son nom restera toujours dans les mémoires de Sparte, en Grèce. Et non pas parce qu'il était roi, mais parce qu'il a rempli son devoir envers sa patrie jusqu'à la fin et est mort en héros. Des films ont été filmés et des livres ont été écrits sur cet épisode de la vie des héroïques Hellènes.
Ces deux fêtes obligèrent les Grecs à observer une trêve sacrée. C'était l'une des principales raisons pour lesquelles seul un petit détachement s'opposait aux Perses dans les gorges des Thermopyles.
Xerxès est allé à la rencontre de l'armée de plusieurs milliersun détachement de trois cents Spartiates, dirigé par le roi Léonidas. Les guerriers ont été sélectionnés sur la base d'avoir des enfants. En chemin, la milice de Léonidas fut rejointe par mille Tégéens, Arcadiens et Mantiniens, ainsi que cent vingt d'Orchomènes. Quatre cents soldats ont été envoyés de Corinthe, trois cents de Fliunt et Mycènes.
Quand cette petite armée s'est approchéeLes Thermopyles passent et ont vu le nombre de Perses, de nombreux soldats ont eu peur et ont commencé à parler de retraite. Certains des alliés ont proposé de se retirer dans la péninsule pour garder Isthm. D'autres, cependant, ont été scandalisés par cette décision. Léonidas, a ordonné à l'armée de rester en place, a envoyé des messagers dans toutes les villes avec une demande d'aide, car ils avaient trop peu de soldats pour repousser avec succès l'attaque des Perses.
Pendant quatre jours entiers, le roi Xerxès, espérant que les Grecsprendre la fuite, n'a pas commencé les hostilités. Mais voyant que cela ne se produisait pas, il envoya Cassiens et Mèdes contre eux avec l'ordre de prendre Léonidas vivant et de le lui amener. Ils se sont rapidement jetés sur les Grecs. Chaque assaut des Mèdes s'est soldé par d'énormes pertes, mais d'autres sont venus remplacer les morts. C'est alors qu'il est devenu clair pour les Spartiates et les Perses que Xerxès avait beaucoup de monde, mais il y avait peu de soldats parmi eux. La bataille a duré toute la journée.
Ayant reçu une rebuffade décisive, les Mèdes ont été forcés dereculé. Mais ils ont été remplacés par les Perses, dirigés par Gidarn. Xerxès les a appelés escadron «immortel» et espérait qu'ils finiraient facilement les Spartiates. Mais au corps à corps, ils n'ont pas réussi, tout comme les Mèdes, à remporter un grand succès.
Les Perses devaient se battre dans des quartiers exigus et avec des lances plus courtes, tandis que les Hellènes les avaient plus longtemps, ce qui dans ce duel leur donnait un avantage certain.
La nuit, les Spartiates ont de nouveau attaqué le camp persan.Ils ont réussi à tuer de nombreux ennemis, mais leur objectif principal était de vaincre Xerxès lui-même dans la tourmente générale. Et ce n'est qu'à l'aube que les Perses ont vu la petite taille du détachement du tsar Léonidas. Ils ont lancé des lances sur les Spartiates et les ont terminés avec des flèches.
La route de la Grèce centrale était ouverte aux Perses. Xerxès a personnellement inspecté le champ de bataille. Ayant trouvé le roi spartiate décédé, il lui a ordonné de lui couper la tête et de l'empaler.
Il y a une légende selon laquelle le roi Léonidas,se rendant aux Thermopyles, il a clairement compris qu'il mourrait, donc, quand sa femme lui a demandé pendant la séparation de ce que seraient les ordres, il a ordonné de trouver un bon mari et de donner naissance à des fils. Telle était la position de vie des Spartiates, qui étaient prêts à mourir pour leur patrie sur le champ de bataille afin de recevoir la couronne de gloire.
Après un certain temps, en guerre entre euxLes cités-États grecques se sont unies et ont pu repousser Xerxès. Mais, malgré la victoire commune sur les Perses, l'alliance entre Sparte et Athènes n'a pas duré longtemps. En 431 avant JC. e. la guerre du Péloponnèse a éclaté. Et seulement quelques décennies plus tard, la victoire a été remportée par l'État spartiate.
Mais tout le monde dans la Grèce antique n'a pas aiméla suprématie de Lacedaemon. Par conséquent, un demi-siècle plus tard, de nouvelles hostilités ont éclaté. Cette fois, ses rivaux étaient Thèbes, qui, avec ses alliés, réussit à infliger une grave défaite à Sparte. En conséquence, le pouvoir de l'État a été perdu.
C'est exactement ce qu'était l'ancienne Sparte.Elle était l'un des principaux prétendants à la primauté et à la suprématie dans l'image grecque antique du monde. Certains jalons de l'histoire spartiate sont chantés dans les œuvres du grand Homère. La remarquable Iliade occupe une place particulière parmi eux.
Et maintenant de cette glorieuse polis sont maintenant partisseulement les ruines de certaines de ses structures et sa gloire éternelle. Des légendes sur l'héroïsme de ses soldats, ainsi qu'une petite ville du même nom dans le sud de la péninsule du Péloponnèse, ont atteint les contemporains.
