Lors d'un diagnostic psychologiqueLe spécialiste doit adhérer aux règles éthiques, qui sont reflétées dans le code international des psychologues praticiens. Le principe de moralité sociale inclut à la fois la responsabilité du psychologue quant à la qualité du diagnostic et le fait de donner à la personne étudiée un état positif, tant dans le processus de recherche que dans les travaux pratiques ultérieurs sur les résultats du diagnostic.
Au cours de ses études d'étudiants en psychodiagnosticspécialités psychologiques, tout d'abord, étudier ce que le principe d'objectivité et de fiabilité est, parce la qualité du résultat de l'étude dépend de la qualité du choix des méthodes de diagnostic. L'objectivité des méthodes psychologiques de diagnostic est atteinte grâce à leur développement par des groupes de scientifiques qui les testent sur un grand nombre de sujets et sont publiées dans des revues scientifiques avec l'indication de la clé des résultats du test.
Le principe de morale sociale impliqueétablir un diagnostic à la suite d'un psychodiagnostic en fonction du nombre de points obtenus en répondant aux questions, en choisissant les jugements les plus utiles pour le sujet ou en fonction du nombre de signes significatifs se rapportant à un état particulier du sujet Par conséquent, le principe de mesure est également utilisé lorsque la symbolisation numérique des propriétés étudiées est utilisée dans l'étude d'objets non physiques. Par exemple, lorsqu’il étudie l’agressivité d’un enfant, un chercheur utilise la technique du «compte de fréquence», qui consiste à surveiller un objet pendant plusieurs jours avec un calcul du phénomène observé dans le comportement d’un enfant. Cela permettra non seulement de calculer le nombre d'actes agressifs, mais également d'analyser dans quelles situations et dans quelles conditions les situations observées se produisent.
Pour tout spécialiste, il est important de comprendre en quoi consistele principe de confidentialité, qui est le principe éthique fondamental dans la conduite de diagnostics psychologiques, pédagogiques et sociaux. Si une personne fait elle-même appel à un spécialiste pour le diagnostic, les résultats ne lui sont communiqués que par lui-même et non par ses proches ou ses collègues.
Même pour la rechercheles principes de moralité qui cachent les noms, la profession et d'autres informations sur les sujets, que l'on pourrait deviner sur lesquels les informations sont collectées, sont utilisés. Dans les travaux scientifiques, chaque sujet est indiqué par une lettre ou un numéro, et le reste des informations sont conservées par le chercheur dans les archives.
Diagnostics, en plus de ses recherchesfonction, doit avoir un effet modelant, c'est-à-dire donner à un individu de nouvelles connaissances qui aident le sujet à mieux connaître ses propres caractéristiques sans se nuire et nuire à son état mental. Les résultats de diagnostic ne doivent pas être utilisés pour collecter un fichier par personne, afin de justifier son incompétence dans la profession. Au contraire, toute procédure de diagnostic devrait être utilisée à des fins de développement personnel.
Chaque spécialiste devrait constamment améliorerqualification, pour suivre une formation, non seulement pour améliorer la connaissance de nouvelles méthodes, mais également pour améliorer leur compétence, pour être guidé, en ce qui concerne le principe du dommage non diminué ou du caractère volontaire, ou le principe de validité scientifique.
Cours de formation de spécialistes sur le terrainL'éducation est organisée afin de confirmer ou d'améliorer leurs qualifications professionnelles. Un psychologue peut demander une certification avant l'heure prévue s'il a développé son propre programme, projet ou diagnostic, qu'il a appliqué avec succès dans des travaux pratiques, si des résultats positifs ont été obtenus dans l'éducation et la formation des enfants. Dans son rapport analytique, le psychologue peut décrire le principe de la coopération professionnelle lorsque des diagnostics sont développés, testés et améliorés par un groupe de collègues. C’est ce type de coopération collective qui permet au psychodiagnostic de rester socialement moral, moral, objectif et fiable pour tous les participants au processus de recherche.