Chaque personne moderne a probablement rencontréavec le concept de sadomasochisme et frémit probablement à la mention de modèles non standard de comportement sexuel. La culture BDSM est considérée comme un concentré de violence, de saleté et de luxure, mais est-ce le cas? Que sait vraiment le public de la sous-culture?
Modèles alternatifs de comportement sexuelest souvent mal compris, surtout sous l'influence des dogmes religieux et des valeurs imposées par qui et quand. Le manque de compréhension et le rejet de la société ont également affecté la culture BDSM. L'acronyme est interprété comme suit: Bondage, Discipline, Sadisme Masochisme, qui se traduit par «bandage, discipline, sadisme, masochisme». En fait, ce n'est pas la seule option de décodage - en fonction de la compréhension du concept de sous-culture, ainsi que des intérêts et préférences personnels, les adeptes du BDSM interprètent le nom de différentes manières. Le décodage du mot «BDSM» peut bien sonner de deux manières: les lettres D et C peuvent aussi désigner les concepts de «dominant» et de «soumis», dont la relation constitue la «colonne vertébrale» de la culture BDSM.
En entendant l'acronyme BDSM, la plupart des gens dessinentdans l'imagination d'une sorte de femme vulgaire en latex et avec un fouet, mais tout le monde ne sait pas que ce modèle de relation implique non seulement une violence insensée contre un partenaire, mais une relation profonde, dans la plupart des cas heureuse. Oui, oui, de nombreux adeptes du BDSM se marient et vivent dans une famille normale, abandonnant même dans certains cas le modèle de relations BDSM au profit du modèle traditionnel.
En fait, le motif du sadisme et du masochisme n'est pasest le concept principal du BDSM. Le décodage indique que S&M n'est qu'une des manifestations et des opportunités de rejeter l'énergie sexuelle. Une relation beaucoup plus profonde peut être vue dans le modèle dominant-soumis. Encore une fois, une telle relation ne se construit pas sur l'humiliation constante de "saba", leur but n'est pas d'affirmer l'auto-affirmation du dominant au détriment du pouvoir sur le partenaire. La soumise transfère volontairement tous les droits sur sa vie au «foyer», montrant ainsi un profond respect, un amour et une confiance envers son partenaire.
Le décodage de l'abréviation BDSM ne donne queune compréhension superficielle de ce qui se trouve au cœur de la sous-culture, cependant, si vous regardez le modèle de la relation entre «maison» et «sous», vous pouvez tracer une tendance plutôt romantique. La tâche du dominant n'est pas de faire pression sur le «sous», mais de l'aider à se réaliser dans la vie, en le protégeant autant que possible des épreuves et en le traitant comme un partenaire aimant normal. Le soumis, d'autre part, doit faire confiance et obéir sans aucun doute au «haut», se rendant compte qu'il ne veut que du bien pour lui. Ces deux-là savent avec certitude qu'ils vont ensemble. Le dominant se sent responsable du «inférieur», et ce dernier, à son tour, essaie de rendre la vie du «supérieur» aussi bonne et agréable que possible. Si le dominant est un homme, demandez-vous si chaque femme veut ce modèle de relation? Il s'agit d'une relation fondée sur une confiance et une ouverture totale, où les deux partenaires se sentent responsables l'un de l'autre. Un homme est un maître, un protecteur et un assistant - n'est-ce pas ce que toutes les femmes recherchent? Une fille qui inspire, soutient et écoute - n'est-ce pas ce dont tout homme a besoin?
Bien sûr, il y en a vraiment quelques-unsdétails informels dans BDSM. Le sens du mot contient les concepts de sadisme et de masochisme, et ces méthodes sont souvent utilisées comme punition pour un acte répréhensible "saba" ou simplement comme divertissement sexuel. Cependant, même ici, connaissant la mesure et établissant des règles claires, vous pouvez voir la romance, car chaque fille veut appartenir complètement à son homme, ce qui est naturel dans le BDSM et est assez rare dans les relations traditionnelles, où règnent la méfiance, la fausseté et la lutte des personnages qui détruisent les relations.
La plupart des gens connaissent même le décryptageabréviation BDSM, elle est très vague, car la société estime que les adeptes de cette sous-culture sont mentalement malsains et ont besoin de l'intervention de médecins du cerveau. Malheureusement, ce point de vue est répandu dans le monde entier en raison du faible niveau d'érudition des gens et de la présentation déformée des informations des médias.
Il y a trois grands principes, indiquésl'abréviation anglaise SSC, qui est suivie par tous les «adeptes» du BDSM. Son décodage est simple: sécurité, santé mentale, volontarisme. Comme vous pouvez le voir, les sessions BDSM, si elles sont utilisées dans des relations BDSM, sont extrêmement raisonnables et sûres pour les deux partenaires. Examinons chaque principe plus en détail.
C'est le principe de base qui devraitêtre guidé par des tops (dominants) en BDSM. Son décodage est le suivant: chaque top doit connaître les bases de l'anatomie, de la médecine, de la physiologie, de la physique et de la chimie, afin que la flegallisation et autres méthodes BDSM soient absolument sans danger pour le «fond». Comme vous pouvez le voir, être "dans le sujet" nécessite une énorme réserve de connaissances et de compétences, afin de ne pas nuire à votre partenaire.
Aussi un concept très important dans le BDSM, le sensqui, cependant, est assez difficile à définir. Le principe de santé mentale suggère que seules les techniques dans lesquelles les deux partenaires sont bien familiarisés devraient être pratiquées, sinon cela peut entraîner de tristes conséquences. Quels que soient les sentiments qui submergent le sommet, ce principe devrait toujours être une priorité.
Ce principe fonctionne principalement avecarrêter les mots. Le «bas» transfère volontairement les droits à lui-même entre les mains du haut, mais cela ne veut pas dire que le «haut» peut faire ce qu'il veut. Toutes les méthodes sont bonnes tant qu'elles plaisent aux deux partenaires, sinon les sessions BDSM peuvent se transformer en violence domestique banale. Le mot d'arrêt aide le «bas» à faire comprendre à son «maître» que la limite a été atteinte et qu'il est temps d'arrêter.
Comme déjà dit, le mot d'arrêt estune garantie que le «bas» ne sera pas soumis à des violences involontaires. Il y a plusieurs opinions sur le mot d'arrêt dans BDSM: le décoder pour certains signifie seulement un signal qu'il vaut la peine de s'arrêter, mais cette approche est incorrecte par rapport à la "inférieure".
La seule interprétation correcte du mot stopsuivant: en l'entendant, le "supérieur" doit immédiatement arrêter toutes les actions CM et libérer complètement le "inférieur". Si nous faisons une analogie colorée, alors ce mot est analogue à une grue d'arrêt dans un train, et non à une demande polie d'arrêter, car même si le «top» pense qu'il est trop tôt pour s'arrêter, son partenaire peut avoir un avis complètement différent et doit être pris en compte.
