À l'ère du Nouvel Âge, trois grands principes philosophiquesLes directions (panthéisme, rationalisme et naturalisme) ont tenté différemment de répondre à la question de savoir quel type d’être moral est une personne. Descartes a estimé que l'environnement et l'individu s'opposent. Helvetius et ses disciples, comme Rousseau, ont écrit sur l'harmonie de l'homme avec la nature.
Tout d'abord, le philosophe croit que l'homme nepeuvent et ne doivent pas être guidés uniquement par leurs propres objectifs et intérêts. Oui, les gens le font, mais de ce chaos général découle. Par conséquent, une personne doit penser à son "genre", c'est-à-dire à tout le monde, puis elle agira conformément aux exigences de la loi morale. Par conséquent, nous devons simplement aller au-delà de notre horizon "privé". L'impératif catégorique d'Emmanuel Kant est le plus haut commandement moral du philosophe, qui correspond à cette installation. En fait, il s'agit d'une obligation pour un individu de «regarder» au-delà de ses membres et de voir les autres. L'homme doit agir de manière à ce que lui et l'autre représentent pour lui tout le genre humain. Et de ce point de vue, il ne peut pas considérer les autres comme un moyen, mais seulement et exclusivement comme un objectif.
Понятие категорического императива для философа est le principe fondamental de l'enseignement des vertus. Pourquoi a-t-il ce nom? Parce que cela ne devrait être fait que pour lui-même. Ce principe est en soi une commande (imperativus en latin).
Qu'est ce que cela signifie? Kant divise la nature et la culture en deux mondes hostiles. Dans la seconde d'entre elles, l'intelligible, sont toutes les valeurs de l'esprit. C'est le monde de la liberté et la nécessité prévaut dans la nature.
Puisque l'homme doit être le but et le plus hautvaleur pour les autres, il doit pour cela se développer et vaincre sa volonté égoïste. Il devrait agir comme si ses actions étaient la loi des autres dans le monde dans lequel il aimerait vivre. Par conséquent, l’impératif catégorique d’Emmanuel Kant nous conduit logiquement à la conclusion suivante. Une vraie personne morale devrait se comporter selon ces exigences les plus élevées et ne pas se laisser guider par les principes de profit et d'opportunité. Oui, nous sommes entourés par tout un océan de bassesse et de conformisme. Mais seulement en faisant preuve de courage et de persévérance, nous resterons fidèles à nous-mêmes et ne trahirons pas notre propre personnalité.